De ces haultz Montz jettant sur toy ma veue,
Je voy les Cieulx avec moy larmoier:
Des Bois umbreux je sens a l’impourveue,
Comme des Bledz, ma pensée undoier.
En tel espoir me fait ores ploier,
Duquel bien tost elle seule me prive.
Car a tout bruyt croyant que lon arrive,
J’apperçoy cler, que promesses me fuyent.
O fol desir, qui veult par raison vive,
Que foy habite, ou les Ventz legers bruyent.