Le fer se laisse, & fourbir, & brunir,
Pour se gaigner avec son lustre gloire:
Ou mon travail ne me fait, qu’embrunir
Ma foy passant en sa blancheur l’yvoire.
Je contendrois par dessus la victoire:
Mais hazardant hazard en mes malheurs,
Las je me fais despouille a mes douleurs,
Qui me perdantz, au perdre me demeurent,
Me demeurantz seulement les couleurs
De mes plaisirs, qui, me naissantz, me meurent.