Si le soir pert toutes plaisantes fleurs,
Le temps aussi toute chose mortelle,
Pourquoy veult on me mettre en plainctz & pleurs,
Disant qu’elle est encor moins, qu’immortelle?
Qui la pensée, & l’oeil mettroit sus elle,
Soit qu’il fut pris d’amoureuse liesse,
Soit qu’il languist d’aveuglée tristesse,
Bien la diroit descendue des Cieulx,
Tant s’en faillant qu’il ne la dist Déesse,
S’il la voyoit de l’un de mes deux yeulx.
Commentaar van Gerard Defaux, Droz 2004, http://books.google.be/books?id=z1tOMAjgyzEC (deels):