Je ne l’ay veue encor, ne toy congneue
L’erreur, qui tant de coulpe m’imposa:
Sinon que foy en sa purité nue
Causast le mal, a quoy se disposa
Ton leger croire, & tant y reposa,
Que ton coeur froid s’y mit totallement:
Dont j’ay en moy conclu finablement
De composer a toute repentence,
Puis que ma vie on veult cruellement
Pour autruy faulte offrir a penitence.
TTS via http://67.205.111.72/tts/rss/treerss.html:
Commentaar van Gerard Defaux, Droz 2004, http://books.google.be/books?id=z1tOMAjgyzEC(deels):