Soit que l’erreur me rende autant suspect,
Que le peché de soy me justifie,
Ne debvois tu au Temps avoir respect,
Qui tousjours vit, & qui tout verifie?
Mais l’imposture, ou ton croire se fie,
A faict l’offence, & toy, & moy irrite.
Parquoy, ainsi qu’a chascun son merite
Requiert esgal, & semblable guerdon,
Meritera mon leger demerite
D’estre puny d’un plus leger pardon.
Commentaar van Gerard Defaux, Droz 2004, http://books.google.be/books?id=z1tOMAjgyzEC:
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