[het Scève-onderzoek is verplaatst naar http://mauricesceve.wordpress.com/]
Des yeulx, ausquelz s’enniche le Soleil,
Quand sus le soir du jour il se depart,
Delasché fut le doulx traict nompareil
Me penetrant jusques en celle part,
Ou l’Ame attaincte or’ a deux il mespart,
Laissant le coeur le moins interessé,
Et toutesfois tellement oppressé,
Que du remede il ne s’ose enquerir.
Car, se sentant quasi Serpent blessé,
Rien ne le peult, non Dorion, guerir.
[het Scève-onderzoek is verplaatst naar http://mauricesceve.wordpress.com/]
Commentaar van Gerard Defaux, Droz 2004, http://books.google.be/books?id=z1tOMAjgyzEC:
[het Scève-onderzoek is verplaatst naar http://mauricesceve.wordpress.com/]