VII
Celle beaulté qui embellit le Monde
Quand nasquit celle en qui mourant je vis
A imprimé en ma lumiere ronde
Non seulement ses lineamentz vifz:
Mais tellement tient mes espritz raviz,
En admirant sa mirable merveille,
Que presque mort, sa Deité m’esveille,
En la clarté de mes desirs funebres
Ou plus m’allume, & plus, dont m’esmerveille
Elle m’abysme en profondes tenebres.
Maurice Scève, Délie