Pour m’enlasser en mortelles deffaictes
Tu m’afoiblis le fort de ton povoir:
Soit que couvrir esperances deffaictes
Face un bien peu d’espoir appercevoir,
Si ne peult on non asses concevoir
A quelle fin ton vouloir se dispose.
Parquoy mon bien, qui en ta foy repose,
Au long souffrir patiemment m’enhorte:
Car aussi bien ta cruaulté propose
De me donner, comme a mort, vie morte.
Categorieën