Moins je la voy, certes plus je la hays:
Plus je la hays, & moins elle me fasche.
Plus je l’estime, & moins compte j’en fais:
Plus je la fuys, plus veulx, qu’elle me sache
En un moment deux divers traictz me lasche
Amour, & hayne, ennuy avec plaisir.
Forte est l’amour, qui lors me vient saisir,
Quand hayne vient, & vengeance me crie:
Ainsi me faict hayr mon vain desir
Celle, pour qui mon coeur tousjours me prie.
Commentaar van Gerard Defaux, Droz 2004, http://books.google.be/books?id=z1tOMAjgyzEC: