Si doulcement le venin de tes yeulx
Par mesme lieu aux fonz du coeur entra,
Que sans douleur le desir soucyeux
De liberté tout seul il rencontra.
Mais l’occupant, peu a peu, penetra,
Ou l’Ame libre en grand seurté vivoit:
Alors le sang, qui d’elle charge avoit,
Les membres laisse, & fuit au profond Puys.
Voulant cacher le feu, que chascun voit.
Lequel je couvre, & celer ne le puis.
Commentaar van Gerard Defaux, Droz 2004, http://books.google.be/books?id=z1tOMAjgyzEC: