Tant est Nature en volenté puissante,
Et volenteuse en son foible povoir,
Que bien souvent a son vueil blandissante,
Se voit par soy grandement decevoir.
A mon instinct je laisse concevoir
Un doulx souhait, qui, non encor bien né,
Est de plaisirs nourry, & gouverné,
Se paissant puis de chose plus haultaine.
Lors estant creu en desir effrené,
Plus je l’attire & plus a soy m’entraine.
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Commentaar van Gerard Defaux, Droz 2004, http://books.google.be/books?id=z1tOMAjgyzEC: