Je voy en moy estre ce Mont Forviere
En mainte part pincé de mes pinceaulx.
A son pied court l’une & l’aultre Riviere,
Et jusqu’aux miens descendent deux ruisseaulx.
Il est semé de marbre a maintz monceaulx,
Moy de glaçons: luy aupres du Soleil
Ce rend plus froid, & moy près de ton oeil
Je me congele: ou loing d’ardeur je fume.
Seule une nuict fut son feu nompareil:
Las tousjours j’ars, & point ne me consume.
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