Tu fais, cruel, ses pensées meurdrieres
Du bien, donc suis, long temps à, poursuyvant,
Tu la rendz sourde a mes chastes prieres,
Tant que mon mal est a moy survivant.
Tu fais soubdain, & deffais, moy vivant,
Ce, que le temps a grand peine extermine.
Fais donc, Amour, que peu d’heure termine.
Si long languir par revoluz momentz:
Ou je diray, que ton arc examine
Neronnerie en mes si griefz tourmentz.
Commentaar van Gerard Defaux, Droz 2004, http://books.google.be/books?id=z1tOMAjgyzEC: