Quand l’oeil aux champs est d’esclairs esblouy,
Luy semble nuict quelque part, qu’il regarde:
Puis peu a peu de clarté resjouy,
Des soubdains feuz du Ciel se contregarde.
Mais moy conduict dessoubs la sauvegarde
De ceste tienne, & unique lumiere,
Qui m’offusca ma lyesse premiere
Par tes doulx rayz aiguement suyviz,
Ne me pers plus en veue coustumiere.
Car seulement pour t’adorer je vis.
Commentaar van Gerard Defaux, Droz 2004, http://books.google.be/books?id=z1tOMAjgyzEC:
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